« À la Ravine des Cabris (Mahavel), riches et pauvres se sont installés en même temps et partout ; grands domaines et ti’cazes se sont érigées ici et là, au fil du temps, donnant au hameau du début et à la cité d’aujourd’hui, un visage plus humain qu’ailleurs.
Les cannes aux pommeaux d’argent et les pioches aux manches de bois mussard, ont écrit son histoire, avec une ancre plus claire qu’ailleurs… Raconter la Ravine des Cabris, c’est extraire de ses terres et de ses hommes, un élixir fait des hauts et des bas, de beaucoup de travail, beaucoup d’espérance et surtout, beaucoup d’amour. »
Énis ROCKEL